L’Association Jacques Abeille a été fondée le 16 mars 2023 à l’université de Paris 8. Elle a pour objet de défendre la mémoire de l’écrivain Jacques Abeille (disparu le 23 janvier 2022) et d’assurer le rayonnement des idées qui ont animé son œuvre et sa vie. Elle procédera et fera procéder entre autres à toute étude, à toute publication, sous quelques formes que ce soit, à la tenue de toute conférence ou de toute manifestation propre à son objet.
Les archives d’Infosurr, avec ses projets éditoriaux adjacents (les Archipels du surréalisme et Libre Espace chez Syllepse, les éditions du Grand Tamanoir), ont été versées à la bibliothèque nationale de France à Paris.
La Collection Phares a été créée en 2003 par volonté de transmettre l’histoire du Surréalisme.
Cette série de films documentaires consacrée aux artistes du mouvement surréaliste a été initiée par Aube Elléouët-Breton (fille d’André Breton et de Jacqueline Lamba), et sa fille Oona Elléouët en coproduction avec Seven Doc.
[…] En 1967, Alain [Segura] rencontre des situationnistes, parmi lesquels Guy Debord et René Viénet, et dans le même cercle une femme plus âgée, Marianne Ivsic, dont le ton provocateur et l’extrémisme sans phrase le séduisent immédiatement. […]
Nous ne rendons pas souvent compte des travaux universitaires mais il faut signaler cet essai, disponible gratuitement en ligne et qui concerne une thématique provocatrice : le surréalisme et l’argent ou plutôt le surréalisme et le marché de l’art.
En attendant la parution du prochain Infosurr, nous avons replongé dans nos archives. Infosurr a souvent été cité par La Revue des Revuesdans ses différentes activités organisées par l’association Ent’revues.
[…] Avec la Révolution des oeillets en 1974, le Portugal mit fin à la police politique et retrouva la liberté d’expression, ce qui y a ouvert des nouvelles possibilités à l’épanouissement du surréalisme. Il était temps de quitter le souterrain. Parmi les projets que Cesariny envisagea après la révolution, on compte une ambitieuse anthologie de textes du mouvement surréaliste alors cinquantenaire et qui n’aurait jamais pu voir le jour auparavant à cause de l’oppressive censure d’État.
En lisant le dossier sur Max Schoendorff dans le n° 2 de la revue Ouroboros, on se rappelle que Max Schoendorff fut aussi un passionné de cinéma. C’est lui qui avait dessiné la couverture et le logo du premier numéro de Jeune Cinéma – lettrines impossibles à reproduire lorsque la revue est passée à l’impression numérique, les caractères étant inconnus en particulier le J.