David Coulter est un nom qui est encore assez inconnu dans le monde de l’art contemporain, mais qui vient d’être récemment magistralement présenté par la fondation Eugenio Granell à Santiago de Compostelle (Espagne). […]
Petr Král a été et reste une figure importante pour un certain nombre de passionnés, de poètes et de cinéphiles autour du surréalisme mais pas que. En faire une (courte) notice est compliqué, tant sa vie est riche et son oeuvre conséquente, ses voyages, ses aventures, ses amitiés aussi.
Ce site autonome constitué à la Sorbonne nouvelle dans le cadre du laboratoire Thalim, avec la collaboration de chercheurs français et internationaux, vise à faciliter l’utilisation des archives numérisées de Desnos par les non-professionnels tout autant que par les chercheurs.
« Allez-y, vous serez ma voix ». C’est avec ces mots d’une confiance folle (mais justifiée) qu’André Breton avait demandé en 1966 à Annie Le Brun de se rendre au colloque de Cerisy consacré au surréalisme auquel Breton, de santé faiblissante et n’ayant aucun goût pour ce genre de rassemblement, ne se rendit pas, bien qu’il fût organisé par son ami Ferdinand Alquié, auteur de Philosophiedusurréalisme.
Sergio Claudio de Franceschi Lima (28/12/1939 – 25/07/2024)
Le merveilleux est partout et se laisse entrevoir à travers les fissures et les lacunes qui s’installent dans la réalité lorsque le Rêve l’invective. Dans cette union explosive, le regard devient l’instrument par excellence et le surréalisme est la lentille à travers laquelle on peut voir le chemin qui mène librement d’une sphère à l’autre. Ainsi, sans craindre la folie, sans laisser le drapeau de l’imagination en berne, les poètes surréalistes ont endossé le rôle d’aventuriers et explorent encore aujourd’hui habilement l’interstice. Parmi eux, il faut reconnaître Sergio Claudio de Franceschi Lima comme une figure centrale.
Quand j’ai commencé à accumuler de la documentation sur le surréalisme à l’aube des années 90, je suis tombé sur le numéro d’Opus international sur « André Breton et le Surréalisme international », je suis tombé sur une notice de Robert Benayoun sur un certain Jean-Claude Barbé. En dépouillant revue et tracts du surréalisme des années 60, je constate qu’il fait partie de ces noms mystérieux dont on ne sait pas grand-chose.
Giovanna, après une vie intense, sans concessions et fidèle à ses idées, nous a quitté mardi 20 février 2024, à l’âge de 92 ans. Avec elle, disparait une des dernières témoins du groupe surréaliste des années 60 – alors que l’année 2024 est annoncée comme l’année du centenaire du surréalisme.
Une de nos plus anciennes et fidèles abonnées.
Voir la page Départ de Giovanna sur le site des éditions du Grand Tamanoir.