Charles Radcliffe

Le dimanche de Pâques 1966, Franklin et Penelope Rosemont rencontrent Charles Radcliffe. Beau et aux cheveux clairs, il se tenait dans l’embrasure de sa porte sur Redcliffe road à Londres ; une belle femme aux cheveux sombres et bouclés regardait par-dessus son épaule, Diana Shelly.

[…] C’était un merveilleux écrivain et il s’est associé à Fanklin Rosemont pour publier Dancin’ in the Streets, « Anarchists, IWWs, Surrealists, Situationists & Provos in the 1960 – as recorded in the pages of the Rebel Worker and Heatwave » en 2005 (cf. Infosurr, n° 60). Amis de tous, ses lettres sont conservées à la Franklin & Penelope Rosemont collection (Labadie Library, University of Michigan). Il a rédigé un livre sur sa vie, Don’t Get Me Talking, « Subculture, Situationism and the Sixties » (2018).
Comme la vie de Jack Kerouac reflétait les années 50, la vie de Radcliffe reflète les années 60.

Extrait de l’article de Penelope Rosemont (traduit par Richard Walter) paru dans le n° 164 d’Infosurr.