ARCHIVES D’INFOSURR

Les archives d’Infosurr, avec ses projets éditoriaux adjacents (les Archipels du surréalisme et Libre Espace chez Syllepse, les éditions du Grand Tamanoir), ont été versées à la bibliothèque nationale de France à Paris.

Manuscrits originaux ou annotés, maquettes corrigées ou non, bulletins d’abonnement, matériel de promotion, correspondances avec abonnés, auteurs, amateurs et détracteurs du surréalisme, tout y est.

Pour celles et ceux qui voudront savoir comment le surréalisme a été source d’intérêts, de passions ou de rejets entre 1996 et 20210, il faudrait demander l’accès au fond d’archives côté NAF 29088. Ce fond est appelé à être complété périodiquement, le temps que l’aventure Infosurr durera.

LES FILMS DE LA COLLECTION PHARES ENFIN DISPONIBLES EN LIGNE

La Collection Phares a été créée en 2003 par volonté de transmettre l’histoire du Surréalisme.

Cette série de films documentaires consacrée aux artistes du mouvement surréaliste a été initiée par Aube Elléouët-Breton (fille d’André Breton et de Jacqueline Lamba), et sa fille Oona Elléouët en coproduction avec Seven Doc.

 

Chaque coffret contient un ou plusieurs films documentaires inédits accompagné d’un livre retraçant la vie et l’œuvre de l’artiste.

​Auparavant il fallait un lecteur DVD ou assister aux premières au Centre Beaubourg de Paris (mon expérience) pour visionner les films.

Maintenant en 2023, la Collection Phares a sa plateforme VOD dédiée. Vous pouvez ainsi visionner les films à volonté moyennant de modiques finances.

On espère que les livrets continueront à être édités, car, pour certains, c’est devenu des incontournables sur l’artiste en question (ainsi ceux sur Benjamin Péret, Remedios Varo, Yves Taguy ou ceux sur des figures moins connues comme Yves Elleouët ou Alice Rahon).

Une action indispensable sur plein de plans multimédias donc.

Pour visionner le film ou acheter le DVD : https://www.collectionphares.com

MARIANNE IVSIC

[…] En 1967, Alain [Segura] rencontre des situationnistes, parmi lesquels Guy Debord et René Viénet, et dans le même cercle une femme plus âgée, Marianne Ivsic, dont le ton provocateur et l’extrémisme sans phrase le séduisent immédiatement. […]

 

De son immersion dans le surréalisme, elle avait gardé le sens de la formule poétique, comme l’atteste le seul texte d’elle que l’on connaisse, un tract de Mai 1968 considéré comme l’un des plus beaux et des plus saisissants qui aient été diffusés alors. Intitulé « Nous ne sommes rien, soyons tout » et signé « Une camarade yougoslave qui en sait long », il retrouve les accents des Paroles de Monelle : « Détruire le pouvoir sans le prendre. Détruire pour être l’autre et soi-même. La poésie vécue n’est pas autre chose ». […]

En mars 1969, avec quelques situationnistes et anciens membres du Conseil pour le maintien des occupations (CMDO), Marianne Ivsic va contribuer à réaliser un projet énoncé par les surréalistes dans les années 1950 : rétablir sur son socle vide, « à la proue des boulevards extérieurs », la statue de Charles Fourier fondue sur ordre de Vichy, comme tant d’autres, au profit de l’Allemagne nazie. Alain Segura rapporte sa véhémente défense de Charles Fourier face à un intellectuel ouvriériste qui n’y comprenait pas grand chose. Il n’en faudra pas plus pour que Guy Debord, fidèle à sa logique du dépassement avant-gardiste, l’appelle « la dernière surréaliste ».

Extrait de l’article de Joël Gayraud paru dans le n° 161 d’Infosurr.

Marianne Ivsic : Alain Segura, Une Saison avec Marianne, « La dernière surréaliste », Bassac, éd. Plein Chant (« La Font secrète »), mars 2022.

LE SURRÉALISME ET L’ARGENT

Nous ne rendons pas souvent compte des travaux universitaires mais il faut signaler cet essai, disponible gratuitement en ligne et qui concerne une thématique provocatrice : le surréalisme et l’argent ou plutôt le surréalisme et le marché de l’art.

 

Les différentes études prennent en compte les réseaux économiques du surréalisme, ses marchands, ses galeries et ses intermédiaires.

[…]

En filigrane, est toujours rappelé la position des surréalistes par rapport au marché de l’art, quintessence du système capitaliste à combattre selon eux et ce même s’ils étaient passés maitres dans l’art de s’y promouvoir. En exergue, est placée, non sans malice, une citation de Stéphane Mallarmé de 1889 :

« Vouloir assigner son prix réel, en argent, à une oeuvre d’art, fût-ce un demi-million, c’est l’insulter. »

Extrait de l’article de Richard Walter paru dans le n° 161 d’Infosurr.

Argent : Collectif, Le Surréalisme et l’Argent, Heidelberg (Allemagne), arthistoricum.net (« Passages on line », n° 4), février 2021.

INFOSURR DANS LA REVUE DES REVUES

En attendant la parution du prochain Infosurr, nous avons replongé dans nos archives. Infosurr a souvent été cité par La Revue des Revuesdans ses différentes activités organisées par l’association Ent’revues.

 

Infosurr est présenté dans leur annuaire de revues, avec la couverture du dernier numéro publié.

Infosurr avait participé à un débat « Poésies croisées : France-Belgique » le 12 juin 2007 à l’Imec – Abbaye d’Ardenne à Caen organisée par Entr’Revues.


Dans La Revue des revues n° 35(2004), un article à consulter : « Droit d’inventaire & empathie critique : comment survivre pour une revue sur les avant-gardes ? L’exemple d’Infosurr et le surréalisme », par Richard Walter, rédacteur en chef d’Infosurr, p. 119-123

 

 

 


 Dans La Revue des revues n° 39 (2006), un article à consulter : « Dix ans d’Infosurr », par Richard Walter, p. 51

Textos de Afirmação e de Combate do Movimento Surrealista Mundial

[…] Avec la Révolution des oeillets en 1974, le Portugal mit fin à la police politique et retrouva la liberté d’expression, ce qui y a ouvert des nouvelles possibilités à l’épanouissement du surréalisme. Il était temps de quitter le souterrain. Parmi les projets que Cesariny envisagea après la révolution, on compte une ambitieuse anthologie de textes du mouvement surréaliste alors cinquantenaire et qui n’aurait jamais pu voir le jour auparavant à cause de l’oppressive censure d’État.

Continuer la lecture de Textos de Afirmação e de Combate do Movimento Surrealista Mundial

CLAUDE TARNAUD / HENRIETTE DE CHAMPREL, MAGA SUIVI DE LES PÉLERINS

Le dix-huitième livre du Grand Tamanoir sera publié en juillet 2023 :

Maga suivi de Les Pélerins

Claude Tarnaud sur et avec des dessins de Henriette de Champrel

 

Deux inédits de Claude Tarnaud et d’Henriette de Champrel, appelée Gibbsy, deux oeuvres en collaboration : Maga écrite en 1971 et Les Pélerins en 1974. Tarnaud et Champrel ont été dans les hauteurs du surréalisme et de ses larges alentours, ces quelques mots sur la page. Cette édition en fac-similé s’est imposée d’elle-même tant l’écriture (avec ses pages faites de silence s’éteignant sur la note, point d’arrêt) et l’image sont indissociables, révélant un dialogue « surpoétique » : « Là, peut encore éclore quelque poème de haute lice, épousant d’inaliénables images. »

Prélude de Jacques Lacomblez

Pour en savoir plus et commander le livre : Maga suivi de Les Pélerins sur le site des éditions du Grand Tamanoir

MAX SCHOENDORFF ET JEUNE CINÉMA

En lisant le dossier sur Max Schoendorff dans le n° 2 de la revue Ouroboros, on se rappelle que Max Schoendorff fut aussi un passionné de cinéma. C’est lui qui avait dessiné la couverture et le logo du premier numéro de Jeune Cinéma – lettrines impossibles à reproduire lorsque la revue est passée à l’impression numérique, les caractères étant inconnus en particulier le J.


Saluts amicaux :

Jeune cinéma existe toujours et le surréalisme au cinéma y est régulièrement évoqué.

Max Schoendorff avait aussi créé le dessin de couverture de la collection Les Archipels du surréalisme aux éditions Syllepse et dirigée sous l’égide d’Infosurr (1998-2000)

PUBLICATION DU N° 160 D’INFOSURR

Text in English at the end of the message

Nous avons le plaisir de vous annoncer que le numéro 160 d’Infosurrest paru, le deuxième de cette année ! Le numéro est envoyé aux abonnés par courrier postal…

Le numéro 160 rend d’abord hommage à la richesse méconnue du surréalisme hollandais à travers la donation de la collection Vancrevel au Museum Boijmans Van Beuningen de Rotterdam.

 

Les deux principaux animateurs de ce surréalisme au pays des Brumes blondes, Laurens Vancrevel et Her de Vries, sont en couverture du numéro. Grâce à Vancrevel, nous arrivons à « dépouiller progressivement la mappemonde surréaliste de ses derniers territoires blancs inexplorés ».

Le numéro fait un retour sur la grande exposition autour du surréalisme sans frontière (New York, Londres) , tentative de revaloriser les périphéries du surréalisme alors que le surréalisme s’est, lui-même, conçu comme périphérie et au risque, « en ignorant que le surréalisme est avant tout une morale », d’inclure des présences surprenantes dans cette exposition au demeurant très riche. Les chanceux visiteurs ont pu contempler le « cadavre exquis » formé de dessins, intitulé Long Distance et de 9m de long, que Ted Joans fit compléter pendant presque 30 ans.

Il y a aussi la dernière étape pour l’exposition Toyen qui finit son tour à Paris où elle a pu conclure une vie riche : « Dans la salle obscure de la vie, je regarde l’écran de mon cerveau. » Autre figure singulière, Eileen Agar, l’ « angel of anarchy », a eu droit à une grande exposition pour célébrer son oeuvre mais aussi sa vie, elle qui a toujours voulu insérer du surréalisme dans la vie quotidienne.

Pour les « Figures du ou autour du surréalisme », hommage est rendu à Jacques Calonne (« le plus lyrique des poètes expérimentaux belges », C. Dotremont) et à Frédérick Tristan, ses multiples avatars et son rapport transi au surréalisme. Infosurr n’oublie pas la poésie, avec le dialogue entre les peintres poètes ou les poètes peintres Georges-Henri Morin et Jacques Lacomblez (pour ce dernier il faut « résister, pour persister dans l’Ailleurs »). Et pour les revues, focus est fait sur la jeune revue Ouroboros, très belle très riche mais pas indigeste, dont le programme pourrait se résumé en une phrase : « Sous les cendres du passé, il faut détecter le “noyau incandescent” de la braise, son actualité » (D. Hoss).

Dans les numéros suivants, on continuera de partir à la (re)découverte de singulières aventures comme les écritures de Max Ernst enfin éditées en Allemagne, la fermeture de La Fleur en papier doré, haut lieux du surréalisme bruxellois, ou, toujours à Bruxelles, la grande rétrospective de Christian Dotremont « peintre de l’écriture ». Après des mois de disette, l’actualité des expositions est toujours aussi riche : retours sera fait sur celle de Perahim, son « labyrinthe transparent » (Petr Kral) et son « agence de voyage en tout rêve » (Jaguer), sur celle des dragons d’Eugenio F. Granell & Rik Lina ou celle sur les rapports fournis et complexes entre le surréalisme et l’alchimie (Venise, Potsdam).

La correspondance entre Jean Paulhan et Breton sera présentée : c’est une des plus longues de Breton (1918-1962) et elle permet de « mieux construire son portrait kaléidoscopique – loin des clichés ». Autre nouveau regard décalé à prendre en compte : des études universitaires sur le surréalisme et l’argent, placées sous la citation provocatrice de Stéphane Mallarmé de 1889 : « Vouloir assigner son prix réel, en argent, à une oeuvre d’art, fût-ce un demi-million, c’est l’insulter » (1889). La poésie surréaliste est toujours existante, avec des publications de Ludovic Tac ou de Jean Thiercelin.

La rubrique « Figures du ou autour du surréalisme » très fournie et celle « Du goudron et des plumes » continueront d’être présentes. Il y aura hommage aux activistes américains (Paul Garon, Charles Radcliffe). Enfin il faudra saluer la réédition de l’anthologie des Textes d’affirmation et de combat du mouvement surréaliste mondial que Mário Cesariny publia en 1975. Comme quoi, il y a toujours des (re)découvertes à faire, ici et ailleurs.

Sur le site d’Infosurr, vous pouvez trouver l’index et les sommaires des numéros, les catalogues de livres, brochures et revues soutenus et diffusés par Infosurr ainsi que quelques billets d’humeur et nouvelles.

Des nouvelles des éditions du Grand Tamanoir :

les Paysages de Stéphane Maignan avec des collages de Pierre Rojanski ont été dévoilées en décembre avant l’arrivée en 2023 de la poésie de Jean-Michel Goutier illustrée par Giovanna et de L’Oie d’Hermogène d’Ithell Colquhon traduite par Michel Remy, annotée par Patrcik Lepetit et illustrée par John Welson). Sans oublier les écrits de Nadja sur lesquels nous travaillons. Vaste programme !

Comme il se doit, pour réaliser toutes ces actions, nous avons toujours besoin de votre soutien : réabonnement, diffusion, signalement de publications, expositions, événements, etc. (Abonnement au bulletin).
La connaissance de la galaxie surréaliste en sera renforcée et ses idées défendues. En souhaitant que vous nous accompagniez dans cette passion et cette exigence,

Pour la rédaction d’Infosurr, Richard Walter

Couverture du n° 160


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Dear Subscribers, dear Readers,

We have the pleasure to announce issue 160 of our bulletin, the second of this year. It is being sent to our subscribers by post.

Issue 160 of Infosurr first pays homage to the little-known richness of Dutch surrealism through the Vancrevel donation to the Museum Boijmans van Beuningen in Rotterdam. The cover is dedicated to the two main leaders of the Brumes Blondes movement, Laurens Vancrevel and Her de Vries. It is thanks to Laurens Vancrevel that « we can now progressively map out these last unexplored surrealist territories ».

We will come back to the huge exhibition Surrealism without Borders (New York, London), an attempt to re-evaluate the peripheries of surrealism, while surrealism has always conceived itself as a periphery. The risk taken by the exhibition was « to ignore that surrealism was above all a moral » and to include strange personalities, however rich the show was otherwise. However the lucky visitors h ave been given the occasion to discover the « exquisite corpse » completed by Ted Joans over 30 years, a long strip of drawings, entitled Long Distance, 9-meter long!

We will also mention the last stage of the Toyen exhibition, ending its rich life in Paris. « In the dark room of life, I look at the screen of my brain ». Another singular figure, Eileen Agar, the « Angel of Anarchy », has had a big exhibition to celebrate her painting as well as her life – she always integrated surrealism into her daily life.

In « The Figures of and around surrealism » section, homage is paid to Jacques Calonne (« the most lyrical of Belgian experimental poets », Christian Dotremont) and to Frederick Tristan, his multiple avatars and his chilled relationships to surrealism. We won’t forget the dialogue between the painter-poets and the poet-painters, like George-Henri Morin and Jacques Lacomblez (for the latter, one has « to resist in order to persist in the Elsewhere »). As regards reviews, we will cite Ouroboros, beautiful, rich but not indigestible, whose programme could be summed up in one sentence: « Under the ashes of the past, one has to find the incandescent core of the live charcoals, its presentness » (D. Hoss).

In the next issues, singular adventures will be discovered, like Max Ernst’s writings, finally republished in Germany, the closing down of La Fleur en Papier Doré, the hot spot of surrealism in Brussels, and, in Brussels as well, the great retrospective of Christian Dotremont, « the painter of writing ». After months of dearth, exhibitions will be reviewed, like that of Perahim and his « transparent labyrinths » (Petr Kral) and his « travel agency of dreams » (Edouard Jaguer), that of the dragons of Eugenio F. Granell and Rik Lina, or that on the complex and rich relationships between surrealism and alchemy (Venice, Potsdam).

The correspondence between Jean Paulhan and André Breton will be reviewed – one of the longest by Breton (1918-1962), which helps « build better his kaleidoscopic portrait away from clichés ». Another unconventional look to be taken into account: university research on surrealism and money under the provocative phrase by Stéphane Mallarmé in 1889: « wanting to give its real price, in money, to a work of art, even half a million, is an insult to it ». Surrealist poetry is alive with publications by Ludovic Tac and Jean Thiercelin.

The  » Figures of and around surrealism » and the « Tar and Feathers » sections will not be forgotten. American activists will also be paid homage to (Paul Garon, Charles Radcliffe) and we will greet the re-edition of the anthology, Texts of affirmative and fight from the surrealist movement in the world by Mario Cesariny in 1975.
It never ends….

On the Infosurr website you will find the index and table of contents of the previous issues and of the catalogues of books, brochures and magazines supported and distributed by Infosurr, as well as a personal press column and various news.

News from Le Grand Tamanoir Editions : the Landscapes by Stéphane Maignan, with collages by Pierre Rojanski in December, just before Jean-Michel Goutier’s poems illustrated by Giovanna, then two unpublished works by Claude Tarnaud with Henriette de Champrel and last, Ithell Colquhoun’s The Goose of Hermogenes, translated by Michel Remy, annotated by Patrick Lepetit and illustrated by John Welson. Without forgetting the writings of Nadja on which we are working. Amazing programme, isn’t it!

As is obvious we do need your help : subscription, renewal of subscription, distribution of the bulletin and your collaboration as regards publications, exhibitions, various events which you would know of, have read or visited. (Abonnement au bulletin).

That way, knowledge of, and access to, the surrealist galaxy will be reinforced and its ideas defended. Counting on your support of our passion and seriousness of purpose.

Richard Walter and the editors.

Couverture du n° 160

OUROBOROS, N° 2

C’est une revue « aux oreilles d’argent » pour son n° 2 (pour le n° 1 elle fut « à teste d’or »), résolument et fièrement éclectique mais tout aussi passionnée, avec une folle élégance dans la présentation. Comme tout serpent, la revue change de peau à chaque numéro : la couverture est ici dans une couleur argent des plus seyantes, le papier est toujours luxueux et la mise en page très aérée.

 

[…]

Il y a un article de Dietrich Hoss sur l’urgence de lire et de connaître Walter Benjamin, avec de précieuses considérations sur le rapport de Benjamin avec le surréalisme ou sur la réception des écrits de Benjamin au sein de l’école de Francfort et au fil de l’histoire de l’Allemagne. L’auteur donne une belle conclusion programmatique :

« Sous les cendres du passé, il faut détecter le “noyau incandescent” de la braise, son actualité ».

[…] Il y en a donc pour tous les goûts exigeants et curieux. Et contrairement à d’autres revues de l’ère internet – revues à la pagination explosante – , Ouroboros ne dépasse pas les 222 pages au grand format de 20,5×26,5 cm. Tout ceci fait que cette revue doit continuer à être suivie de près, de très près.

Extrait de l’article de Richard Walter paru dans le n° 160 d’Infosurr.

Ouroboros, Lyon, n° 2 « aux oreilles d’argent », mai 2021.