Signatures : Ben Durant, Jérôme Duwa, Dominique Rabourdin, Michel Remy, Laurens Vancrevel, Richard Walter.
16 pp.
Signatures : Ben Durant, Jérôme Duwa, Dominique Rabourdin, Michel Remy, Laurens Vancrevel, Richard Walter.
16 pp.
Signatures : António Cândido Franco, Joël Gayraud, Christian Oestreicher, Dominique Rabourdin, Bertrand Schmitt, Ludovic Tac, Laurens Vancrevel, Richard Walter.
16 pp.
Signatures : Gérard Durozoi, Joël Gayraud, Jean-Pierre Lassalle, Dominique Rabourdin, Michel Remy, Laurens Vancrevel, Richard Walter.
16 pp.
Nous avons le plaisir de vous annoncer que le numéro 124 d’Infosurr est paru.
C’est le septième publié dans l’année ! Nous rattrapons notre retard et le numéro part par courrier auprès des abonnés.Le n° 124 revient longuement sur l’actualité du surréalisme au Portugal et, en contrepoint de l’exposition Magritte au centre Pompidou de Beaubourg, sur le livre de Silvano Levy sur René Magritte. On découvre le collectif d’édition Peculiar Mormyrid et, dans la rubrique des « figures autour du surréalisme », découverte est faire de Jean Marembert. Des coups de projecteur sont faits sur la récente exposition de Jacques Lacomblez, un inédit de Julien Gracq, Joyce Mansour traduite en allemand. Et bien sûr des nouvelles plus brèves et les 3 pages habituelles de recensement.
« Il faut repousser le rationalisme par tous les moyens. La raison, c’est la mort » [1].
Christian d’Orgeix, homme entier, intègre, luttant contre vents et marées, suivant une route étroite, peu fréquentée, toujours à la marge – de la société, cela va sans dire, mais aussi de tout groupe constitué – ce qui lui a, à de nombreuses reprises, fortement compliqué la tâche. « Hemos perdido todas las batallas, todos los días ganamos una Poesía » [2]. Homme d’un autre temps, de tous les autres temps. Sa seule modernité est dans son art, mais « c’est un privilège que de vivre en conflit avec son temps » [3].
Le site de l’Association des Amis de Benjamin Péret (AABP) a publié cet article de Dominique Rabourdin :
Devant toutes les attaques dont André Breton n’a jamais cessé d’être l’objet depuis des dizaines et des dizaines d’années, la tentation est grande de se dire qu’on n’en a rien à f… Mais trop c’est trop. On ne peut pas rester sans réagir quand dans l’éditorial signé Eddie Breuil du numéro de La Nouvelle Quinzaine littéraire qui « célèbre » le cinquantenaire de la mort de Breton il est écrit : « Pour beaucoup, il reste l’homme des exclusions (Leiris, Masson, Artaud, etc.), un tortionnaire. »