Poète surréaliste et banalyste « actif », Alain-Pierre Pillet inventa Watt Mer à la fin des années 1990. Ce film en offre le portrait. De Watt Mer ? D’Alain-Pierre Pillet ? De ses amis qui en partagent la lecture ?
Le 31 décembre 2017, sur son blog indispensable sur le « Surrealismo Internacional », Miguel Corrales a rendu compte du n° 130 d’Infosurr :
« Es muy bueno que Infosurr se haya puesto, en trabajo acelerado, casi al día en la publicación de sus números, siempre fértiles en informaciones del “planisferio” surrealista. »
Elle évoque Fred Deux et ses dernières expositions et publications puis relate sa lecture des autres notices du numéro, avec de nombreux ajouts de liens et de ressources.
Nous avons le plaisir de vous annoncer que le numéro 130 d’Infosurr est paru. Cela sera le sixième posté dans l’année ! Le numéro arrive par courrier postal auprès des abonnés. Et vu l’actualité c’est encore un numéro sur 16 pages.
Le numéro fait un tour de l’actualité avec des éclairages sur les liens entre le mouvement De Stijl et Dada en Hollande, sur des passions surréalistes de collectionneurs (comme Roland Penrose, ou Edward James) ou de musées (Boijmans van Beuningen à Rotterdam), la (re)découverte de la poésie d’Eugenio Castro ou des activités de Peculiar Mormyrid ; un sort détaillé est jeté sur le Sam Berlinn de Jean-Claude Silbermann. Dans la rubrique « Figures autour du surréalisme », hommage à Elie-Charles Flamand et regards sur Yves Bonnefoy et Michel Sanouillet. Et bien sûr des nouvelles plus brèves et 5 pages de recensement. Avant de conclure sur le non sens très surréaliste anglais de Les Coleman.
70 pages , 14,5×21 cm, 10 € avec 12 dessins inédits de
Jacques Lacomblez.
Tirage de tête : 20 exemplaires signés par les artistes avec une gravure numérotée et signée par Jacques Lacomblez.
De nombreux « spécialistes du surréalisme » non francophones semblent avoir eu toutes les peines du monde à s’accommoder de l’engouement des surréalistes pour les cabrioles de la langue française et pour tous ses jeux de mots dont André Breton disait qu’ils sont « soumis au régime de la coïncidence… qui brillent de la lumière même du télescopage et montrent dans le langage ce qu’on peut attendre du « hasard en conserve », grande spécialité de Marcel Duchamp » (Anthologie de l’humour noir, 1940).
Avant de rencontrer Sarane Alexandrian, je ne le connaissais que pour ses hommages circonstanciées aux peintres que j’appréciais comme Victor Brauner et Max Ernst et ses ouvrages sur l’érotisme et les philosophies occultes – travaux considérables qui avaient permis à ce parfait gentleman de survivre de sa plume, avec tous les risques que cela comportait. J’avais pu compléter, grâce à lui, ce que j’avais appris du Catharisme grâce à une visite aux sites des Corbières et à Montéségur en 1962, et à l’échange de correspondances avec René Nelli qui avait suivi.
Nous avons le plaisir de vous annoncer que le numéro 129 d’Infosurr est paru.
C’est le cinquième publié dans l’année ! Le numéro arrive par courrier postal auprès des abonnés.
Vu l’abondance de l’actualité, il est encore sur 16 pages.
Le n° 129 commence par un hommage au surréaliste indonésien Jan Schlechter Duvall, puis est fait un tour de l’actualité autour de l’anniversaire de la mort d’André Breton et de sa correspondance, un coup de projecteur est porté sur les dernières publications poétiques de Jacques Lacomblez et de Guy Cabanel, un sort détaillé est jeté sur les expositions autour de la beauté convulsive en République tchèques, hommages enfin sont rendus à Fred Deux et Radovan Ivsic, ainsi qu’à l’art postal d’Artur Cruzeio-Seixas. Et bien sûr des nouvelles plus brèves et 5 pages de recensement. Avant de conclure sur la persistance de la revue brésilienne A Phala.