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    Le Punching-ball et la vache à lait de Guy Ducornet
    Les Escargots des grands boulevards… de Gilles Petitclerc
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    un des reprints de la Bibliothèque des introuvables :
    Au défaut du silence de Paul Éluard
    Dormir, dormir dans les pierres de Benjamin Péret
    L’Air de l’eau d’André Breton

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Voeux 2016

Bonjour,

Nous avons le plaisir de vous annoncer que le numéro 117 est paru
C’est le septième publié dans l’année 2015 !

Le n° 117 revient sur l’actualité – toujours aussi riche – de Benjamin Péret, propose une mise au point sur les bêtises qu’on continue à écrire sur Jacques Vaché et le groupe de Nantes, la découverte de l’amitié de Ghérasim Luca & Tilo Wenner, la persistance de la revue Salamandra, un sommaire de choix…

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Gilles Brenta – Une liberté sans limite

Par Dominique Rabourdin

Aux deux Christine

La mémorable installation du « Petit Musée Brenta » en ce même haut lieu de Gaillac en 2008 avait été l’occasion de vérifier que Gilles Brenta, collaborateur de longue date aux activités du groupe surréaliste de Belgique rassemblé autour de son ami Tom Gutt, si peu intéressé qu’il soit, prétendait-il, par la peinture elle-même (« on le voit surtout ne pas peindre », admirait Gutt ), était cependant peintre, et aussi dessinateur, collagiste, poète, éditeur, cinéaste, décorateur et créateur d’objets. Cet homme capable de tout, car il sait tout faire, travaille dans la liberté la plus absolue. Il n’hésite pas, si les circonstances l’exigent, à faire preuve du mauvais goût le plus délibérément provocant, au risque de mettre le regardeur en situation de choc. Mais il cultive également le « principe de délicatesse » avec tout ce que cela suppose de raffinement. Après s’être adonné à la brouette, il en donne aujourd’hui une nouvelle preuve avec ses variations sur le sabot.

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