La Galerie Boquet et Ambroise Audoin-Rouzeau présentent Dora Maar, Autoportraits, première exposition consacrée exclusivement aux autoportraits de Dora Maar (1907 – 1997).
Figure mythique de l’art du XXe siècle, Dora Maar est essentiellement reconnue comme photographe et grande figure du mouvement surréaliste.
Giovanna, après une vie intense, sans concessions et fidèle à ses idées, nous a quitté mardi 20 février 2024, à l’âge de 92 ans. Avec elle, disparait une des dernières témoins du groupe surréaliste des années 60 – alors que l’année 2024 est annoncée comme l’année du centenaire du surréalisme.
Une de nos plus anciennes et fidèles abonnées.
Voir la page Départ de Giovanna sur le site des éditions du Grand Tamanoir.
Esprit rebelle, anticlérical et libertaire, Claude Gauvreau n’a pas vingt ans lorsqu’il commence à écrire des « objets dramatiques », textes vocaux, « pour l’ouïe », « nullement destinés à la vue » qu’il regroupera sous le nom d’Entrailles. D’emblée il adopte un lyrisme surréaliste nourri d’images poétiques présentant comme le voulait Pierre Reverdy « le degré d’arbitraire le plus élevé », à quoi s’ajoutent des mots-valises à la manière de Lewis Carroll, et jusqu’à une poésie de mots inventés faisant écho à certains poèmes Dada ou à Finnegans Wake de Joyce :
Parlons un peu plus en détails de Jan Švankmajer, né en 1934 à Prague et membre du groupe surréaliste pragois. Il expose des Unnatürliche Geschichten [Histoires non naturelles] début 2023 à Schwandorf, petite ville franconienne pas loin de Nuremberg.
Surréalismes Paris 2024 est la sixième édition de l’International Society for the Study of Surrealism (ISSS), dont le but est de faciliter les échanges interdisciplinaires et inter-régionaux en organisant des événements (colloques, forums, expositions, publications) sur le surréalisme.
Nous avons le plaisir de vous annoncer que le numéro 164 d’Infosurr est paru, le sixième de cette année (dans les temps) ! Le numéro est envoyé aux abonnés par courrier postal…
Le numéro 164 continue de montrer toute la variété de l’actualité autour du surréalisme. Les grandes expositions s’accumulent et s’enchaînent. Il y a eu Mondes surréels, présentant la somptueuse collection Scharf-Gerstenberg, le fameux « musée surréaliste berlinois » ; les moulages de la « firme Hans Arp », « base [de ses] merveilleuses sculptures » ;
Le dimanche de Pâques 1966, Franklin et Penelope Rosemont rencontrent Charles Radcliffe. Beau et aux cheveux clairs, il se tenait dans l’embrasure de sa porte sur Redcliffe road à Londres ; une belle femme aux cheveux sombres et bouclés regardait par-dessus son épaule, Diana Shelly.
[Max Ernst conçoit] la Nature comme un espace inspirant et comme règne du possible, espace qui, selon Ernst, n’a ni stabilité ni limites et que, en tant qu’artiste, il ne faut pas imiter platement, mais vivre avec intensité et interpréter subjectivement. Il s’agit de surmonter les réalismes en transperçant les apparences du réel pour arriver à son noyau, le surréel.