Les archives de Philip West sont déposées à la fondation Granell de Saint-Jacques de Compostelle.
L’oeuvre de ce surréaliste anglais trop peu méconnue a fait l’objet d’une exposition organisée par la fondation Granell à… la fondation Miranda de Vila Familiceo qui anime un centre d’études du surréalisme au Portugal.
On nous a annoncé une exposition du peintre-graveur Yves Milet-Desfougères du 7 au 13 juin 2021 à la galerie La Ville A des Arts (15 rue Hégésippe Moreau Paris 18ème) . Elle présentera une trentaine de tableaux (peintures, dessins, gravures).
Perahim. De l’avant-garde à l’épanouissement. De Bucarest à Paris.
MASC – Musée d’Art moderne & contemporain, Les Sables d’Olonne
13 juin – 26 septembre 2021
Aux côtés de Victor Brauner, Jacques Hérold ou Marcel Janco, Jules Perahim (1914-2008) représente l’une des figures les plus marquantes de l’avant-garde roumaine des années 1930. Il se fait alors connaître autant par sa collaboration aux revues non conformistes d’esprit dada et surréaliste Unu (dont le principal contributeurest Victor Brauner) et Alge (fondée entre autres avec le poète Gherasim Luca), que par ses expositions personnelles puis ses dessins virulents publiés dans les revues de contestation sociale et politique de l’époque.
Il y a 25 ans, en février 1996, sortait le n° 1 d’Infosurr. A ce jour (été 2021), 150 numéros ont été publiés, un index est accessible sur ce site.
On espère toujours avoir moins de retard mais il fallait marquer l’événement. Pour remercier les abonnées de leur fidélité, deux cadeaux leurs ont été envoyés début août 2021 :
Le treizième Grand Tamanoir va être publié dans les derniers jours de l’été 2021 : la « Poésies presque complètes (1959-2020) » de Jean-Claude Silbermann.
Réfugiés dans un pub de Leeds à la veille du confinement, le 11 mars 2020, nos amis, autour de Kenneth Cox, ont produit cette plaquette de 20 pages solides, puissantes, pleines d’une profonde réflexion. Engagés dans l’ « obscurité éblouissante » d’une promenade dans Leeds, à la manière de Ian Breakwell, ils se sont mis à l’affût du moindre détail par lequel s’ouvrent les portes de l’étrange.
Il vient de sortir le premier numéro d’une revue de poésie, philosophie, art plastique, critique littéraire et cinématographique… d’un véritable « luxe communal », en belle couleur jaune « Gilet Jaune » -en toute conscience de cause commune. Une invitation audacieuse au contact sensuel avec l’écrit et l’expression plastique, à contre-courant du virtuel régnant. Les éditeurs ouvrent les pages de leur « ardente revue » à la présentation de travaux « sans exercer la moindre censure idéologique ». Ils comptent avec un même « élan créateur » de tous les participants à cette aventure, que – disent-ils – « nous voulons, pour notre part –la part du feu, résistant voire révolutionnaire. Ainsi soufflons-nous résolument sur les braises, pour faire croître un feu créateur et purificateur…».