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Le surréalisme hors du livre

On nous communique :

Issues pour l’essentiel de la journée d’étude « Le surréalisme hors du livre », qui s’est tenue le 20 juin 2023 à l’université de Namur, les contributions rassemblées dans ce dossier [du site Fabula] posent, à partir des surréalismes français et belge, la question des littératures sauvages, c’est-à-dire ces productions élaborées hors du circuit traditionnel de l’édition, le plus souvent sur des supports de fortune.

Voir les actes de cette journée édités numériquement : Colloques Fabula

Publication du n° 176 d’Infosurr

Text in English at the end of the message

Chers abonnés, chers lecteurs

Nous avons le plaisir de vous annoncer que le numéro 176 d’Infosurr est paru, le sixième de cette année. Le numéro est envoyé aux abonnés par courrier postal.

Ce numéro, sur 12 pages, apporte encore un complément à l’inventaire de « ce qui reste » du centenaire du surréalisme : Infosurr tient toujours à cultiver la variété des points de vue.

Au delà de ces commémorations, il faut revenir à l’essentiel, ainsi à l’amitié entre André Breton et Benjamin Péret, amitié qui est en couverture de ce numéro et en dernière page, saluant le travail des Cahiers Péret.
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Cahiers Péret, Toute une vie

Le numéro annuel des Cahiers Péret, le n° 13, s’inscrit dans l’actualité du centenaire du surréalisme. Il est présenté par ses responsables comme le catalogue d’une exposition virtuelle consacrée à l’amitié entre Benjamin Péret et André Breton, sobrement intitulée Toute une vie surréaliste : André Breton et Benjamin Péret (1920-1959), en référence au très beau poème de Péret, « Toute une vie » (1949).

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Marianne Van Hirtum, Contes sublimes,

C’est au début des années 1980 que Guy Flandre – je lui en serai toujours redevable – m’a introduit auprès d’un certain nombre de  surréalistes, et non des moindres. Parmi eux il y eut Marianne Van
Hirtum. À cette époque, j’ignorais qu’elle dessinait et n’avais lu aucun de ses poèmes. De ses recueils, je ne connaissais que deux titres – La Nuit mathématique, Le Trépied des algèbres – qui ne laissaient pas de m’intriguer.

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